C’est à ma correspondante MJA que je dois ce texte, qui la doit elle-même à Annie, que je ne connais pas. Attribué à Aldous Huxley, il semble qu’il soit, en fait, de Gunther Anders, extrait de son ouvrage « L’obsolescence de l’Homme ».
Il rejoint « La servitude volontaire » dans nos « Textes de référence ».
Tous les articles-chroniques de ce blog, les vidéos qu’ils comportent, les liens vers les associations qui se démènent ont pour but d’aider les lecteurs à ne pas se laisser glisser là où certains veulent nous maintenir.
Que cet été soit pour chacun la saison du rattrapage !
C’est ce que nous souhaitons.