Deux ou trois choses que nous savons de lui…
Nous sommes allés le dénicher dans sa tanière, là où nous devrions nous abstenir : dans la biodiversité que nous devrions respecter et laisser en paix au lieu de vouloir tout contrôler (ah ! ah !), régenter, en imposant nos techniques ou en pillant et en prenant la vie d’animaux pour satisfaire notre avidité.
Si nous cherchons des responsables, nous n’avons pas trop à chercher !
Ce virus a un avantage sur nous, que nous sommes obligés de remarquer : il ne fait aucune différence. Face à lui un chef d’état et un clochard sont sur un pied d’égalité.
Voyons comme nous avons, tout à coup, de notre côté, hissé vers le haut de la pyramide sociale les éboueurs, les paysans, les routiers et les infirmiers que nous traitions comme piétaille…
Asseyons-nous et, puisque nous avons le temps : réfléchissons. Que de leçons nous avons à tirer avant de sortir de notre vie de confinés pour établir les nouvelles bases d’une nouvelle organisation de notre société…