Moi pas. Prestige de la marque. Et, derrière elle, prestige de notre pays. Beauté des avions. D’accord. Mais nous n’en sommes plus là ! Avec un virus, nous nous tordons de douleur. Imaginons ce qu’il en sera avec des températures épuisantes, la sécheresse, la destruction de notre nature de climat tempéré, la famine, les morts…
Je ne souhaite le chômage à personne. Mais il n’y a rien que nous ne puissions maitriser dans une économie dont les règles sont élaborées par nous. Il est temps de mesurer enfin l’utilité sociale de nos activités et de permettre aux acteurs d’activités à bilan négatif de se réorienter vers des secteurs positifs, comme l’isolation des bâtiments, le « care » (soin aux autres), l’alimentation saine par exemple.
Non seulement ce gouvernement n’a rien compris, mais il empêche le financement des initiatives d’avenir en fortifiant encore ce qui nous conduit à la catastrophe.
Lorsque nous contemplons le spectacle d’un air impavide, nous devenons aussitôt complices de ce gouvernement, coupables de non assistance à humanité en danger.